L’Association Arménienne d’Aide Sociale et la Fondation Franco-Arménienne pour le Développement lancent un concours de langue française pour les élèves de 4ème à la 12ème classe étudiant le français à Erevan.
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Inscrivez-vous vite sur la liste de votre école avant le 17 mars 2017.
La première phase du concours aura lieu le 24 mars. Des diplômes et des prix seront remis aux lauréats.
Pour connaître les règles du concours, adressez-vous à votre école.
Le 20 décembre 2016, l’Association Arménienne d’Aide Sociale (AAAS) et la Fondation Franco-Arménienne pour le Développement ont organisé une table ronde autour du projet « Amélioration des services fournis aux enfants ayant des problèmes comportementaux et sociaux ».
Le 20 décembre 2016, l’Association Arménienne d’Aide Sociale (AAAS) et la Fondation Franco-Arménienne pour le Développement vous invitent à participer à une table ronde autour du projet « Amélioration des services fournis aux enfants ayant des problèmes comportementaux et sociaux ».
Lors de l’événement, le projet de transformation du Complexe éducatif républicain N°1 en Centre de ressources et de réhabilitation sera présenté aux parties prenantes.
Nouné Balyan, coordinatrice des projets de la FFAD, et Pauline Decuyper, travailleuse sociale, présenteront l’expertise internationale liée au projet et l’analyse des résultats de l’analyse comparative de la situation dans la République d’Arménie.
Larisa Sargsyan, directrice du Complexe éducatif républicain N°1, exposera les services proposés actuellement par l’établissement, ainsi que des statistiques sur les enfants accueillis par l’institution.
Puis, la directrice du réseau de protection des enfants, Mira Antonyan, présentera en détail le projet de transformation Complexe éducatif républicain N°1 en Centre de ressources.
La table ronde sera animée par le vice-président du conseil d’administration de la FFAD, Andranik Harutyunyan, en présence de représentants de l’UNICEF en Arménie, du ministère de l’Education et des Sciences, du ministère du Travail et des Affaires sociales, et du ministère de l’Administration territoriale et de la police.
Le 14 novembre, 2016 l’Association Arménienne d’Aide Sociale lancé un projet visant à améliorer les services éducatifs et de réhabilitation fournis aux enfants ayant des troubles du comportement.
En 2015, l’AAAS poursuit son action journalière en faveur des personnes sourdes et malentendantes en Arménie à travers sa structure locale, la FFAD. Parmi les activités actuelles du centre Dialogue fonctionnant auprès de la Fondation figurent les cours gratuits de langue de signes à destination des entendants (avec 33 étudiants à l’heure actuelle), les services d’accompagnement en cas de besoin d’interprète, les prestations psychologiques et juridiques.
Parallèlement, www.deaf.am, le premier portail informatique en Arménie à destination des personnes atteintes de déficience auditive mais également de toute personne intéressée par la découverte de la communauté locale des sourds et des malentendants, s’enrichit de nouvelles ressources avec plus d’une trentaine de reportages et environ 160 nouveaux mots ajoutés au dictionnaire de langue de signes en ligne au cours de la première moitié de 2015.
Il n’est plus besoin de s’attarder sur la description du « Retour aux sources » initié par l’OFII (Office Français de l’Immigration et de l’Intégration) et l’AAAS et porté en Arménie par la FFAD. Faciliter le retour volontaire dans leur pays d’origine des migrants arméniens en situation irrégulière en France et accompagner leur réinsertion sociale et économique sur place sont les objectifs principaux – assez ambitieux, d’ailleurs – de ce projet que les partenaires mettent en œuvre depuis déjà 10 ans.
Le bilan de l’année 2015 illustre bien le succès du projet auprès des bénéficiaires avec le financement rien que pour cette année de 48 nouveaux projets. Si l’élevage reste le domaine privilégié parmi les propositions validées, notamment dans les régions, la dernière commission de 2015 a approuvé également des projets de montage de pneus, de culture sous serre ou encore de conduite de taxi. Le nombre de personnes ayant bénéficié de l’offre de formation professionnelle durant la même période a été de 3.
Il s’agit d’une initiative lancée par la FFAD en partenariat avec la fondation caritative « Saint Sarkis » et l’AAAS (Association Arménienne d’Aide Sociale) afin d’accompagner le Gouvernement arménien dans la mise en œuvre de son projet de « Réforme des établissements d’éducation spécialisée ».
Dans ce contexte, les partenaires se sont engagés à élaborer et soumettre au ministère arménien de l’Éducation un dossier qui traite des aspects organisationnels, financiers, méthodologiques et légaux du processus de transformation du Complexe éducatif républicain N 1 en une École Centre de Ressources. L’amélioration des services éducatifs fournis aux enfants ayant des troubles du comportement sera également au cœur de leurs propositions.
Une première discussion autour de l’esquisse du dossier et des sujets qu’il va aborder a eu lieu le 27 novembre dernier, dans les locaux-mêmes du complexe éducatif N 1. La rencontre avait réuni tous les acteurs du domaine : des représentants des ministères de l’Éducation et de la Science, de l’Emploi et des affaires sociales, des spécialistes des services publics régionaux chargés de la défense des droits de la famille, des femmes et des enfants, des délégués d’ONG locales et internationales intervenant en matière de la défense des enfants, ce qui a permis d’avoir des échanges fructueux. Les avancées dans la conception du dossier définitif ne se feront pas attendre !
Le guide concis publié en 2015 suite au projet « Renforcement de la société civile en Arménie » (RSCA) – lancé par l’AAAS (Association arménienne d’Aide sociale) en octobre 2014 en partenariat avec la fondation caritative « Saint Sarkis », il a été porté sur place par la FFAD – contient des informations utiles à toute organisation de la société civile œuvrant dans le pays, en s’adressant notamment à ceux qui font leurs premiers pas dans le domaine.
Les sujets traités y vont de l’inscription de l’organisation jusqu’à la mis en œuvre des projets, en passant par la conception du plan stratégique, l’élaboration et la gestion de ceux-ci. L’ouvrage conçu en arménien est disponible gratis au bureau de la FFAD à Erevan et a été également diffusé dans les régions.
A l’issue de la phase pilote de la mise en place de l’indicateur de protection des enfants dans neuf pays (Albanie, Arménie, Bulgarie, Géorgie, Serbie, Moldavie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Roumanie), une équipe d’experts s’est de nouveau réunie le 12 avril 2016 pour améliorer sa méthodologie et le cadre de ses indicateurs.
L’atelier à Belgrade a été consacré à l’évaluation du cadre de l’indice de protection des enfants en prenant pour base les articles de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE). Des discussions autour de l’amélioration de cet instrument régional ont été menées par les experts qui ont travaillé sur la collecte des données pour le programme pilote.
L’indicateur de protection des enfants, mis en place à l’initiative de ChildPact, a pour but d’identifier les besoins et les lacunes du système de protection des enfants. La phase pilote de l’indice de protection des enfants a montré que la situation de la protection des enfants est loin d’être idéale. Les experts chargés de la collecte de données qui ont participé à la phase pilote se sont retrouvés confrontés à un énorme fossé entre la législation et la mise en œuvre.
L’analyse des résultats préliminaires a montré que le système juridique arménien concernant la protection des enfants était très complet. Cependant, bien que presque tous les instruments internationaux de protection des enfants soient ratifiés, les dispositions légales ne sont que rarement mises en pratique.
L’indicateur de protection des enfants est en passe de devenir un outil très utile pour orienter les stratégies de lobbying sur des questions spécifiques et pour élaborer une meilleure politique de protection des enfants vulnérables. Il permettra aussi de comparer la situation actuelle avec celle des pays voisins, installant ainsi une concurrence saine entre les états, tout au bénéfice du développement de la protection des enfants.
Pendant quatre jours, du 27 au 30 avril, une cinquantaine de spécialistes d’Arménie œuvrant dans le domaine de la gériatrie prenaient part à la formation dispensée par deux experts de l’AAAS : Vasken Meldonian, directeur général de l’AAAS et ancien directeur de la résidence arménienne de Montmorency, et Raffi Garabedian, directeur de la Maison de retraite l’Églantier à Gonesse, toutes les deux gérées par l’AAAS.
Mise en œuvre dans le cadre de la coopération entre l’AAAS et le projet TIA (Targeted Initiative for Armenia – Initiative Ciblée pour l’Arménie) de l’UE, avec la participation du ministère arménien du Travail et des Affaires sociales, l’initiative avait comme but principal de promouvoir les droits des personnes âgées dans les maisons de retraite locales à travers l’amélioration de la qualité des soins professionnels et des services de réhabilitation.
Gestion des établissements de soins et organisation des services, gériatrie et soins aux personnes âgées : la formation conçue autour de ces deux sujets principaux touchait un groupe cible assez large incluant cadres, employés et collaborateurs de sept maisons de retraite (dont quatre publiques et trois privées), ainsi que des représentants d’ONG actives dans le domaine (Mission Armenia, Armenian Caritas, etc) en provenance de l’ensemble du territoire arménien.
Les tendances en matière de gériatrie et de gérontologie en France, les mécanismes mis en place dans les maisons de retraite françaises en vue de l’amélioration de la qualité des services fournis et du bien-être des résidents ont été présentés par les experts de l’AAAS. Les témoignages des participants leur ont permis de prendre également connaissance de l’état actuel des choses dans le domaine en Arménie.
« Nous sommes vraiment impressionnés par les travaux réalisés en Arménie dans le domaine de la gériatrie. Nous aussi, nous apprenons des choses des spécialistes locaux. En effet, la différence réside dans nos moyens financiers et nos possibilités mais pas dans les services de soins, l’attention et la chaleur portées aux résidents », ont noté M Meldonian et M Garabedian au terme de leur visite de deux maisons de retraites d’Erevan, organisée après la formation.
